Festival international du
court métrage au saguenay

Synopsis

La seconde oeuvre d'André Forcier, dans laquelle il tient l'un des rôles principaux, est une délirante pochade mêlant allègrement images d'archives, plans de fiction en couleurs et en noir et blanc. Il y est question de trahison, du Labrador et du Québec libre.

Production :
Onyx Films
Distribution :
Cinémathèque québécoise
Contact :
Musique :
Marylise Labonté
Interprétation :
Pierre Caron, Jacques Chenail, Robert Coursineau, Pierre David, André Forcier, Jean-Pierre Labonté et Fernand Roy
Montage :
Jacques Chenail
Direction de la photographie :
François Gill

Réalisation
  • André Forcier

    C’est en 1966 qu’André Forcier produit et réalise son premier court métrage, Chroniques labradoriennes. Au début de sa carrière, il accepte toutes sortes d’emplois afin de pouvoir financer son premier long métrage, Le Retour de l’Immaculée Conception. En 1974, après le succès de Bar Salon, Forcier reçoit des mains de Vittorio De Sica la «Sirène d’argent» au festival de Sorrente en Italie. Il poursuit sa carrière en réalisant plusieurs films à l’atmosphère envoûtante et surréaliste (L’eau chaude l’eau frette, Au clair de la lune, Kalamazoo, Une histoire inventée, Le Vent du Wyoming, La Comtesse de Baton Rouge). Après quelques oeuvres mineures, il revient en 2009 avec Je me souviens, que plusieurs considèrent comme son meilleur film. Il est le premier cinéaste canadien à avoir une rétrospective à la Cinémathèque Française en 1987. En 2003, il est récipiendaire du prix Albert-Tessier et, en mars 2010, il remporte le prix de la Gouverneure Générale du Canada, la plus haute distinction en arts médiatiques au pays. Coteau Rouge, son 12e long métrage, a été choisi comme film d’ouverture pour le 35e Festival des Films du Monde (2011).