Lorsqu’on a échappé à la violence homophobe dans son pays d’origine et vécu un douloureux projet migratoire, ou qu’on fait encore face à des préjugés sociaux liés à des conflits interculturels et intergénérationnels, pour nombre de personnes LGBTQ+ arabophones à Montréal, survivre à l’isolement social n’a rien d’inhabituel.