Dans la cosmogonie des Kalapalo, l’eau, aussi ancienne que l’humain, est source de vie. Pour eux, l’idée d’utiliser l’eau comme une poubelle, de l’empoisonner est une dystopie. Dans Tuã Ingugu, le chef Faremá raconte la naissance de l’eau et nous met en garde contre les conséquences de ne pas la respecter.