Poème visuel et requiem surréaliste pour les Kalmouks qui étaient déportés en masse par l’URSS de 1943 à 1957. La moitié d’entre eux sont morts avant d’avoir reçu l’autorisation de rentrer chez eux. Ce film, fait référence au passé et à la perte et constitue un acte de résistance critique face aux situations sociopolitiques contemporaines dans le monde.