
RÉCITS D’UNE CONTRÉE ÉLOIGNÉE : LA NOUVELLE-ZÉLANDE
Jusqu’au début des années 80, le cinéma Néo-zélandais semblait réservé aux documentaires, mettant en vedette l’exotisme de la faune et de la flore de l’archipel. Les années qui suivirent furent marquées, entre autres, par les œuvres de Jane Campion et Peter Jackson. À la même époque, le court métrage commence à s’affirmer. Les cinéastes néo-zélandais se servent de ce format pour approfondir leur esthétisme et leur langage cinématographique. Depuis, on ne compte pas moins de 40 courts Néo-zélandais présentés au Festival de Cannes en 25 ans.
Provenant de cette île paradisiaque au milieu du Pacifique, cette Carte blanche, présentée par le festival Show Me Shorts réunit une sélection originale de courts parmi les plus remarquables de l’année. À l’aube de son 10e anniversaire, l’événement s’inscrit désormais dans le paysage cinématographique national, offrant sa programmation partout sur l’archipel, pendant tout le mois de novembre
