Dans le Nord, l’hiver approche. Une Ourse pense à son ami Oiseau qui a migré vers le Sud. Au lieu d’hiberner comme chaque année, elle décide de traverser le monde pour le rejoindre.

Une journée ensoleillée à manger des burgers et se baigner semblait parfaite pour le jeune Seb... jusqu'à ce qu'un terrible mal de ventre vienne tout chambouler.

- À quelle heure je reviens ?
- 17h30.
- Bon chien !

Asma reçoit de mauvaises nouvelles concernant la santé de son père. Elle prends la route avec un oncle dont elle ne connaît rien; lui qui a coupé les ponts avec sa famille il y a longtemps.

LAMENTO explore la construction du désir et des émotions, montrant que les corps ne se rencontrent jamais de manière brute ou naturelle, mais à travers le prisme de fantasmes socialement construits et de jeux de rôles.

Sur les falaises battues par les vents des Îles-de-la-Madeleine, une épave nous raconte une légende qui s’efface doucement avec le temps. Autrefois, de mystérieuses mélodies, des reels portés par les cœurs des insulaires, leur donnait le pouvoir de s’envoler. Aujourd’hui, cette magie s’est tue, emportant avec elle les liens d’une communauté marquée par les changements et l’érosion de son territoire.

Entre conte poétique et chronique sur la perte, Les Reels Perdus est une ode à la force des traditions, à la magie d’un peuple insulaire et à leur lutte pour préserver ce qui reste de leur identité.

La Grande Marche est une comédie absurde qui suit Franz, un jeune étudiant qui, inspiré par ses idoles révolutionnaires, cherche à prendre le contrôle de son école. Cependant, le mouvement qu’il déclenche devient rapidement incontrôlable, entraînant Franz dans son chaos.

Au cœur des fonds marins, entre les rochers et les coraux, des algues primitives ondulent, bercées par le son feutré et vrombissant des courants. Là-haut, à la surface de l’eau, quelque chose d’extraordinaire vient d’apparaître : une voix. Si douce et séduisante qu’elle ne ressemble à rien de ce qu’on a entendu auparavant.

Poussés par leur désir de lumière et de chaleur, des adolescents britanniques partent en voyage aux Baléares. Ils doivent absorber le soleil et le stocker dans leur corps pour le ramener dans leur royaume couvert de nuages. Un film surréaliste sur le phénomène réel du « balconing » qui, au cours des derniers étés, a conduit à des accidents tragiques et auto-infligés, en particulier chez les jeunes voyageant en Espagne.

Sur une colline balayée par le vent, dans un lieu encore jeune et exempt de toute vie, une maison ancestrale se construit d’elle-même. La demeure s’anime, se bâtit, et nous illustre sa vie longue de cent cinquante années. Brique par brique, planche par planche, chaque action petite ou grande devient sensible. Au fil des époques, elle nous amène à percevoir le passage du temps, les transformations de son milieu et sa vulnérabilité face à la frénésie inarrêtable de nos zones urbaines. La maison évolue ainsi tranquillement au cœur d’une ville grandissante et bourdonnante qui finira par expédier sa fin.